Douze pétales blancs
Une corolle s’ouvre
Une fleur de printemps
Le sol passé recouvre
La lune et le soleil
Pistil éblouissant
Mêlent leur sang vermeil
Au ciel incandescent
L’homme, sens en éveil
Contemple la brillance
De ce monde en sommeil
Humaine quintessence
Qu’amour en nouvel an
Soulève la planète !
Qu’annonce l’olifant
La plus belle conquête !
L’amour semble ne jamais avoir de fin … Rêve ou réalité ? A chacun sa verité …
Un passage dans ta tanière …..je viens d’y faire un tour ! Reste à me familiariser avec la clé !
en ce qui concerne ce poème j’y vois un double sens …à la fois le renouveau de la nature et d’autre part une analogie avec les sentiments amoureux et la sensualité qui en découle
bizzzz
Bienvenue chère Eclipse,
ta lecture ne manque pas de pertinence comme toujours…
Bises et à bientôt