Vois,
La lune brûle comme un soleil
Ce soir. Les étoiles une à une chancellent
Et près de moi te rappellent
Mercure mande son coq sonner le réveil
La lune brûle comme un soleil
C’est l’été qui revient dans ton cou voyageur
J’y respire la pêche et le péché
La pomme et ce ver oublié
D’Adam, tout à son bonheur
C’est l’été qui revient dans ton cou voyageur
Ensemble sur les chemins froissés
De feuilles à la nervure de nos mains
Bravant les champs du doute, demain
Nous marcherons les lèvres embrassées
Ensemble sur les chemins froissés
La vie est faite de départs, de retours, d’arrivées, concrètes ou symboliques…
Un poème comme une escale… Je n’ai mis que la ponctuation minimale, libre à toi,
Cher Lecteur, d’y mettre ta respiration.
Touchant! En vous lisant comme à chaque fois d’ailleurs vous m’emportez dans votre univers et à propos de ce poème aucune remarque j’ai juste envie de le lire de le relire encore et encore…;-)
Cette absence de commentaire est le plus beau des commentaires…
Merci infiniment et passez autant que vous le voulez…
Joyeuses fêtes à vous !
Merci à vous et joyeuses fêtes
Tous mes voeux de bonheur pour la nouvelle année…
Encore merci !
Oh ! Comme j’ai « la dent » ! et toi « lève » et rappelle ce pommier paradisiaque…
Une belle promenade nous attends, mais quand aura-t-elle lieu ?
Vite ton futur poème ! laisse-moi le chercher. En attendant, je le rêve.
Bisous
Michel-Olivier…
Que tes mots sont beaux, cher ami…
Bisous