Furtif et léger
Aux néons de la ville insouciants
Comme la fleur du blanc cerisier
Dérobé aux passants
Sur des lèvres transies
Flocon impertinent
Caresse de l’esprit
Rêve évanescent
Furtif et léger
Juste un éclat de lune
Sur la pointe des pieds
Un mirage nocturne
Sur des lèvres transies
Esquisse à l’encre rose
Désir qui s’écrie
Une bouche qui ose
Furtif et léger
Feuille qui tourbillonne
Le vent l’a emporté
Il n’était pour personne
Sur des lèvres transies
Juste un éclat d’amour
Un fruit gorgé de vie
Envolé pour toujours
Voix : Michel Tissier
Le baiser c’est l’ouverture à un monde ou l’on multiplie deux en espérant que le résultat final sera un.
Comment résoudre cette équation poétique ?
Ton approche est lumineuse et subtile.
Bisous.
Michel-Olivier…
N’étant pas très douée pour les équations, il m’est plus facile d’imaginer que un plus un font un !
Non deux en un, cela fait une peu marque publicitaire…
Merci Michel-Olivier pour tes mots toujours appréciés.
Bisous
Je suis étonné de ne pas voir mon commentaire d’hier soir. Aurais-je fait une fausse manœuvre ?
Le premier baiser, première porte qui s’ouvre vers ce désir « mathématique » qui fait que l’on finit par additionner un plus un pour un résultat unique qui est UN. A moins que ce ne soit une multiplication qui donne ce nombre… Je réfléchis…
Bises amicales
Michel-Olivier…
Rassure-toi, il y a un modérateur dans la machine !
Je réfléchis aussi !!!
Bisous, cher ami.
Alors on est deux à réfléchir, pour une même réponse !
Attendons le résultat qui doit être… unique.
Bisous Gente Eleusis.
Michel-Olivier…
Merci, Micherl-Olivier… euh , je n’ai toujours pas trouvé !
Bisous