Éclats de brume à la nuit foudroyante
L’empereur des pins enrubanné d’hermine
Salue de son hauban la cour des moussus
Ô village de pierre sur la montagne ailée
La lézarde du guet arraisonne en secret
Le vol noir des amants.
Le silence grinçant des pas de l’escalier
À la porte fendue se perd sur les corps ocre
La tour échevelée s’est rendue dans un souffle
Valse langoureuse en duel des monts nord
Le vent s’est esclaffé accroché à la nuit
Il est couché à plat fatigué du sabbat
Éclats de brume à la nuit foudroyante
Empreintes de dunes sur la poudre neigeuse
Tutoiement des étoiles sur les pics du vertige
Enlacement du plein au bord du précipice
Étreinte d’acier consumée à feu blanc
Insomniaque, l’aurore se défend.
J’aimeeeee … Bisous Eleusis
Merci pour l’éloquence de ces deux petits mots…
Bises
Bonjour Eleusis,
Je suis heureux de voir que vos mots sont toujours aussi colorés et agréables à lire.
De mon côté mon inspiration est toujours aussi soudaine et capricieuse. J’ai cependant réussi à la dompter pour quelques minutes.
A bientôt.
Cher Fabien,
et moi je suis heureuse de vous revoir ici ! J’espère que votre plume nous offrira
de nouveau ses jolis mots…
Eleusis