Encore eût-il fallu, cher ami, que l’on prévînt mon émoi par une missive.
J’eusse alors mis hors de mon boudoir quelques intruses. Faut-il que je répétasse : dehors ! Afin d’être entendue .
Nul doute que je pusse (puce) alors sauter à votre oreille et vous faire entendre l’état de langueur -tourmente dans lequel mes sens émoussés se complaisaient.
A ouïr votre pas, il me tardait, moiteur concupiscente, que je conquisse (conque hisse) et que vous sussiez (suciez) de ma bouche affriolée la pulpe lascive de mes tendres pensées !
Que sur votre fruit mûr dressé, votre langue affamée implorât que je me misse …
tu conjugues l’humour et le Talent Eleusys; bisous; je reviendrai
Reviens quand tu veux Isangrin, tu es le bienvenu…Quant à l’humour, tu le manies plutôt bien !
À bientôt et merci de ton passage.
Halala Lala!
Ou :
« Votre fruit mûr dressé ? Votre langue affamée implorât que je m’y misse !… »
?
Votre idée est bonne, en effet…
Bonjour et bienvenue, je comprends votre question : j’ai mis une petite note sous le poème
« je me misse » j’ai pris cette liberté …
Je vous remercie d’être passé.
magnifique
borneo
Bonsoir Borneo, merci ! Ce mot me comble…